
Un très modeste extrait :
Salut, monsieur mon mari,
Crois bien que je déplore les désagréments et le désarroi qu’a pu te causer ma répugnance buccale, mais j’ai été empoisonné un jour par une gerbe de sperme venue d’une imagination malade et j’ai dû utiliser pendant quinze jours un dentifrice spécial. Ça m’étrangle rien que d’y penser, même si ça remonte à plusieurs hivers, quand j’étais encore toute jeune et printanière.
Je suis sûre qu’un petit fumier comme toi comprendra.
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