Dans son premier roman sorti en 1998, Ipso facto, Iegor Gran raconte l’histoire d’un homme dont la vie bascule parce qu’il n’arrive pas à retrouver son baccalauréat et dont la libido prend des tournures inattendues.
Sur ce, je sors doucement de la salle à manger, je passe à coté de la pendule à l’entrée, et là maman me rattrape, on assiste à une scène d’Epinal, elle essuie ses larmes, elle court m’embrasser avant mon départ, allez mon petit n’écoute pas ce qui dit ton vieux père, il t’aime quand même tu sais, je sais maman je sais, on se tombe mutuellement dans les bras, on se console tant qu’on peut, c’était émouvant je peux vous le dire, les moments de cette intensité on s’en souvient toute sa vie. Brave maman, que je me disais en lui caressant la joue, comme tu es douce, tu embrasses comme une reine, tu es bien la plus belle de toutes les femmes. Tu vois comme le fruit de tes entrailles s’en est pris plein la figure dans la vie ? Mais tu vas le cajoler comme aucune Eve ne saurait le faire, oh oui t’es une experte maman, ton bambin tu le connais mieux que personne, tu sais où il faut que tu poses tes lèvres pour un maximum de plaisir, forcément je suis ta chair et ton sang, alors quand tu me prends dans ta bouche l’ajustement est parfait, le rythme ne souffre aucune critique, c’est du Mozart pur canne le long de mon sexe.
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